bases théoriques de la littérature comparée en Slovénie par rapport aux problèmes nationaux et aux phénomènes sociaux
Abstract
Le traité, écrit en 1966, pose der fondements théoriques nouveaux à la science littéraire comparée en Slovénie en mettant la notion de littérature en rapport avec les catégories de la nation et de l’histoire. La nation est un sujet historique déterminé par l’activisme, subjectivisme et par la liberté. Dans une petite nation, « non historique » ou bien « retardée », ces catégories acquièrent des traits spécifiques : la structure fondamentale de l’historie slovène est donne un mouvement bloqué ce qui embrasse la réduction de la société évoluée en mouvement et la réduction de son action en auto-défense. Dans un univers ainsi limité, la situation de la littérature devient contradictoire. La littérature est la force principale qui fait intégrer la nation, c’est la source, le fondement et le sens de son existence ou bien la fonction des valeurs spirituelles abstraites par lesquelles une nation se justifie tout en exprimant la vérité de ce sujet historique apparaissant comme un mouvement bloqué. Lorsque cette vérité est cachée, la littérature est une valeur généralement admise en fonction d’une mythologie nationale mais lorsque c’est la littérature qui exprime la vérité, elle se met en conflit avec ce dont elle est la source, la base et le sens. C’est à une telle conception de la littérature que doit s’appuyer l’histoire de la littérature comparée en dépassant la recherche traditionnelle des rapports et des influences.
